Des industries et entreprises internationales surexploitent des produits et des espèces marines, sur toutes les mers et océans. Cette surexploitation affecte, généralement, la survie des petits exploitants vivant sur les littorales maritimes. La surpêche apporte des problèmes différents et énormes. Des solutions et mesures préventives sont adaptables : mettre en place et en oeuvre l’aquaculture marine renforcée, soutenir les mesures et stratégies contre la surexploitation marine et réduire le financement en matière d’allocation pour les industries d’exploitation.
La surexploitation marine cause des problèmes énormes
Sur le plan économique, la surpêche entraine, tout d’abord, une diminution inquiétante des produits, le chômage ou la perte d’emploi considérable au sein des groupes de pécheurs classiques. Ces derniers souffrent énormément en matière financière à cause de l’insuffisance des produits exploités. Cette pratique entraîne, également, des risques pour la préservation et production des espèces vivantes dans le monde marin. Elle apporte, aussi, un danger pour les écosystèmes et un changement du point de vue écologique. La surpêche risque de provoquer la disparition des certaines espèces. Certaine population marine jouant un rôle écologique important risque, également, de disparaitre. Les besoins mondiaux élevés concernant les produits marins sont, certainement, des motifs causant la surpêche. Des individus simples protecteurs de l’environnement et de la nature mènent des sensibilisations auprès des médias, sur internet dans le but de préserver le monde marin, pour protéger l’environnement. L’internet est un moyen particulièrement avantageux permettant de sensibiliser le monde. Visiter le site planete-ecologie.com est intéressant et conseillé aux individus intéressés par l’exploitation marine. Mettre en place et renforcer l’aquaculture marine peut être considérée comme une solution appropriée.
Mettre en place et renforcer l’aquaculture marine
Mettre en place et en œuvre l’aquaculture marine est une initiative permettant de faire face aux problèmes de la surpêche. Elargir l’aquaculture marine auprès des zones littorales semble bien nécessaire pour diminuer la surexploitation. Cette initiative est réalisable et adaptable pour toutes les nations concernées. Des mesures préventives et nouvelles approches devraient être mises en place et en œuvre pour arrêter cette surexploitation. La surpêche entraînerait, encore, des risques pour les écosystèmes et la reproduction chez les espèces marines en cas de non prise des mesures et approches appropriées. Regrouper les pécheurs traditionnels et mettre en place une aquaculture marine intense à leur profit est une pratique adaptable au niveau des différentes zones marines. Mais cette mesure nécessite, aussi, l’intervention de spécialistes et professionnels connaisseurs. Leurs interventions sont techniquement très utiles. Alors, tous les responsables et individus concernés doivent prendre des initiatives mesures tangibles.
Soutenir les mesures contre la surexploitation marine
Pour mener une lutte contre la surexploitation marine des nouvelles approches devraient être prises sur le plan international. Réunir tous les responsables concernés internationaux avec des spécialistes scientifiques en marine écologique est une initiative indispensable afin de dresser un bilan mondial. Plusieurs bateaux et des équipages pratiquent et exploitent sans autorisation légale. Mener une lutte contre l’exploitation clandestine est, également, un moyen permettant de faire réduire la surexploitation. Renforcer le système de contrôle au niveau mondial, donner et doter des équipements moyens permettant de réaliser ce contrôle peut sûrement une pratique adaptable pour freiner la surpêche. Un système de suivi peut être envisagé en adaptant une coopération bilatérale et internationale entre les pays voisins et ils éloignées. Mettre en vigueur des dispositions légales sévères au niveau de chaque pays visant la reproduction marine est une mesure adéquate envisageable. Une campagne de sensibilisation auprès des exploitants est, également, une pratique permettant de conscientiser les individus, c’est un moyen favorable pour rappeler leurs responsabilités en matière d’exploitation en matière d’écologie et environnementale. Pratiquer le triage en respectant les mesures appropriées des produits est une approche habituelle mais manque d’exigence et de suivi. Arrêter de subventionner les grandes entreprises industries qui exploitent des produits marins est une méthode praticable pour lutter contre la surexploitation marine.
Réduire le financement d’allocation pour les industries d’exploitation
Certaines entreprises maritimes bénéficient de subventions offertes par certains Etats afin d’éviter la pratique de surpêche. Mais suite aux besoins et demandes sur le marché international, ces personnes morales ignorent pratiquement les normes techniques et les règles en vigueur. Alors suspendre le financement en matière d’allocation pour les grandes entreprises spécialisées en exploitation marine est une possibilité pour lutter contre la surexploitation marine et sauvegarder, aussi, la biodiversité. Les subventions offertes par les Etats aux entreprises de pêche devraient être arrêtées. Ce financement ne fait qu’aggraver la surexploitation, car en bénéficiant d’allocation certaines industries profitent, aussi, le manque de surveillance de contrôle mené par les responsables les garde-pêches nommés par des Etats. Arrêter de subventionner les grandes industries mais financer les groupes de pêcheurs favorables pour la mise en place et en œuvre l’aquaculture marine est une solution optionnelle et adaptable. Mais cela impose, encore, une volonté politique et économique de la part des hauts responsables concernés au niveau de chaque pays.